Et maintenant, l’avenir ! 

Fidèle à son histoire, SUCO continue à être agile en s’adaptant aux réalités et aux besoins contemporains. Pour commencer cette décennie, elle se dote de stratégies pour accroître son impact, ainsi que de mécanismes pour mieux apprendre de ses expériences et de celles de ses partenaires et mieux soutenir l’innovation. 

Les années 2010 – Jeunesse, environnement et entrepreneuriat rural 

Développement de projets en lien avec la nutrition, la formation de jeunes agriculteurs et agricultrices aux techniques d’agroécologie novatrices et l’accompagnement entrepreneurial : cercle vertueux de développement et d’autonomie économiques. 

Les années 2000 – Égalité femmes-hommes,  développement local et agroécologie 

Systématisation des approches d’égalité entre les femmes et les hommes, renforcement du pouvoir d’agir des collectivités par la démarche de développement local et consolidation de l’approche d’agroécologie en favorisant la souveraineté alimentaire. 

Les années 1990 – Formalisation d’approches originales par SUCO 

Développement et formalisation de méthodes d’intervention adaptées aux réalités des différentes communautés où SUCO intervient avec son approche en agroécologie, comme ce fut le cas avec le manuel El Machete Verde*. 

Les années 1980 – La solidarité directe et le renforcement de la société civile 

Séparation de SUCO et CUSO et perte du bailleur de fonds principal de SUCO. Fidèle à ses valeurs et forte de son agilité, SUCO développe une approche de solidarité directe auprès des populations locales et vise le renforcement de la société civile.** 

Les années 1970 – Solidarité et sensibilisation du public 

Rapprochement des initiatives locales d’autodéveloppement et priorité sur l’éducation du public canadien aux réalités du développement international. Les syndicats et groupes communautaires se joignent au mouvement. 

Les années 1960 – Servir et apprendre 

Création de SUCO/CUSO le 6 juin 1961 par des réseaux d’universitaires. Deux objectifs : s’ouvrir sur le monde en comblant des postes d’éducation ou de la santé dans les pays en voie de développement et former les canadiens et canadiennes. 

* Développé par Daniel Gagnon, volontaire au Nicaragua 

** Cela n’aurait pas été possible sans le soutien d’une grande communauté de donateurs et donatrices et de nos volontaires.